J’ai cherché sur Google sans incomparablement y se représenter. J’ai choisi un site de voyance en ligne un peu au hasard, mais avec des avis la clientèle efficients. Le format était rassurant : pas de portrait, pas d’engagement, fiable un tchat inconnu. J’ai posé un thème précis beaucoup en direct, sans fioriture : “Cette fusion est-elle la haute réglementation pour ma société ? ” Le voyant ne m’a pas répondu par c'est certain ou non. Il m’a posé d’autres questionnements. Il m’a parlé d’intention, de cohérence, de zones d’ombre dans le dialogue avec mes partenaires. Et petit à petit, sans que je m’en rende compte, il m’a fait verbaliser ce que je n’osais pas regarder : la sûreté. Ou très, le manque de confiance. J’étais focalisé sur les chiffres, mais je n’avais pas perçu que le partenaire notoire n’était pas dans la même endurant que un individu. Il avait une approche plus court-termiste, plus opportuniste. La voyance ne me l’a pas révélé par magie. Elle m’a aidé à revêtir des informations, à corréler des messages faibles que j’avais ignorés. Et c’est ce que j’ai compris ce jour-là : ce que je payais, ce n’était pas une réponse, mais une mise au franc.

Je n’ai jamais été un bras des discours énigmatiques. Mon quotidien, on a celui d’un entrepreneur expéditif, évident, exigeant avec moi-même et avec les autres. Les choix devront pouvoir être prises rapidement, les projets atteints, les chiffres compris. Pourtant, ces derniers mois, j’ai commencé à mêler un modèle d’usure. Trop de pression, beaucoup de bruit, beaucoup d’incertitudes. Et dans ce ressenti de tension latent, un lien m’a compté envoyé un soir, presque comme par exemple une blague, par un collègue d’enfance : “Tu devrais faire un essai de la voyance en ligne, on ne sait jamais. ” Ma voyance olivier première répercussion ? Rire. Ma deuxième ? Cliquer. Simple intérêt, à coup sur. Et cela vient là que j’ai revêtu un pied dans environnement avec lequel j’ignorais tout. Sur l’écran, une interface à vous, directe, entrainant innombrables échantillons de consultations : par tchat, téléphone, boite mail, ou même visioconférence. À ma grande surprise, le ton n’était pas secret ni mystificateur. On me parlait de guidance, d’éclairage, d’intuition, de recentrage de personnalité. Pas de grande prêtresse ni de boule de cristal. Une rencontre moderniste, presque professionnelle. J’ai déterminé d'essayer. Un primitif entreprise par téléphone, sans avis, mais en posant une question dégagé, concrète : “Est-ce que ce dessein que je prépare va faire du chemin ? ” Ce que j’ai écouté en renouveau n’était pas une réponse, mais quelques interrogations. Loin d’être vague, l’échange était structuré, presque coachant.